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Billet

Gérard Darmon et Edwy Plenel - Le ridicule de l'acteur face au journaliste...

Je suis en retard pour regarder l'échange entre Mr Darmon et Mr Plenel. En revanche je le trouve passionnant sur ce qu’il dit de notre époque, des élites, des stars, et des médias.
Darmon et Beigbeder sont troublés dans leurs positions de confort par l’agitateur Plenel et ça les agace.

Il 'y’a aussi ce formidable billet de Bruno Donnet sur Europe 1 qui résume l’affaire et explique que l’amitié entre Eric Dupond-Moretti et Gérard Darmon permet d’expliquer l’attitude de ce dernier envers Plenel, lui en voulant certainement de dévoiler les casseroles d’Eric DM.

Pathétique quand on sait qui est Dupond-Moretti, sa réputation et ses casseroles.
Merci au passage à Macron de l’avoir placé à ce poste de Ministre de la Justice.

Parfois les commentaires YouTube suffisent à tout résumer parfaitement :

- Je pense sincèrement que Gérard Darmon et beaucoup d'autres ne veulent surtout pas que les choses changent POUR EUX . Quand au petit peuple il en a absolument rien à faire

- Une fois de plus un acteur que j'apprécie dans son métier et que je prends plaisir à voir sur les écrans me déçoit beaucoup en venant s'exprimer sur un plateau TV à propos de sujets dont il ne sait rien. Avant Gérard DARMOND je me souviens de François BERLEAND qui au début du mouvement des gilets jaunes était venu éructer devant les caméras : "les gilets jaunes nous emmerdent, ils me font chier..." Tous ces people grassement payés pour faire le métier qui les passionne ont oublié leurs privilèges. Ils habitent les grands appartements parisiens, déjeunent et dinent dans les grands restos, sont invités à tous les évènements mondains que les bobos adorent, etc... Ils ignorent et méprisent les peuple. Pour eux les abus des gens de pouvoir sont normaux. D'ailleurs ils les côtoient et les courtisent sans honte. Dans leur esprit ce sont ceux qui les dénoncent comme MEDIAPART qui sont au mieux des mesquins et au pire des inquisiteurs. RUQUIER et SALAME pensent évidemment la même chose et alimentent cette autosatisfaction devenue insupportable !

Pour les autres retardataires voici le passage en question :

Babor Lelefan, c'est important.

En plus d’être assez bon dans le domaine de l’humour, ce jeune homme assez stylé nous offre des enquêtes hyper bien fournies sur les arnaques du web, ITWorks ou encore l’inconnu David Michigan aux 11 millions d’abonnés sur Instagram.

J’adore ce genre de contenu bien monté, intelligent et drôle et je vous conseille donc de checker ses vidéos, enquêtes mais aussi sketchs à prendre bien évidemment au 300ème degré celsius.

Je crois aussi avoir tenté l’aventure de son long métrage avec des guests comme Dava mais j’avoue le mater un peu en dents de scie, oui, tout à fait, en dents, de la scie.


Je suis aussi hyper respectueux du type qui se fait mettre la pression par le Michigan avec des courriers de mise en demeure de supprimer sa vidéo et sa capacité à ne pas se démonter et à poursuivre le dossier en justice.

Force à Babor Lelefan et merci pour tout ce que tu fais pour ton pays.

ah oui ça troll aussi magnifiquement Norman fait des vidéos et du stand-up

Personne ne te revaudra ça, à part l’argent du Youtube game et ça ça compte, alors continue ton travail d’enquête digne d’Elise Lucet mais en moins prétentieux.
Bisous

L'ego de Branco

Dimanche dernier on a marché jusque l'Île saint Louis. 
En partant elle m'a dit "est ce que tu veux que je reste ?" 
j'ai encore pas su quoi dire. Oui Mais... 

Oui tu me fais du bien… mais j'ai peur de ce que je peux faire, de te faire, du mal. 

Bref, le retour en vélo fut froid mais elle m'a expliqué en rentrant chez elle que je ne voulais aucune responsabilité. Même le choix d'être ensemble je ne veux pas l'assumer. Et elle est capable de prendre beaucoup de responsabilités, elle en a déjà assez, mais pas celle-ci. Celle-ci c’est à moi de la prendre. Elle a raison. Je refuse toute responsabilité, même celle de vivre ma vie.

Puis j'ai vu Juan Branco, assis au nez-de-chaussée à sa fenêtre du quai d'Orléans, à l’angle de la rue sur l’Île Saint-Louis, il avait face à lui une vue superbe sur le dos de Notre Dame. Je l’ai reconnu direct et j’ai croisé ses yeux pour exprimer mon mépris.
J’espère que le message est passé.
Il semblait bien, calé là, pensif, à voir comment faire la révolution du bas de son jolie cocon situé dans un des sites les plus chers de Paname…

On aime pas les riches en France.
C’est un garçon, voir un homme pas encore bien cadré, qui a grandit dans le 16ème et qui le/se déteste qui vous le dit.

J'ai tellement de mal avec ce genre de personnage avocat médiatique, et mes colocs aussi après en avoir discuté avec eux.
Ça ne valide en rien mon avis, mais ça le soutien pas mal vu le profil des gens avec qui je vis : une avocate spécialisée d’affaires sociales et environnementales et un porteur de projets associatifs et culturels.

Juan Branco pour moi c’est ce genre d’homme enfant qui cherche la fame et la célébrité à tout prix, au travers de ses “affaires juridiques”.
Il veut le regard et la validation des autres, mais de qui ? de Papa ? de Maman ?
Il dit défendre les gilets jaunes alors qu'il crèche sur l’île Saint-Louis.
Bon vous me direz l’un n’empêche pas l’autre. N’empêche que ça fait bizarre comme tableau.
Il se montre volontiers dans les médias, publie des livres sur ses élans révolutionnaires, se disait “l’avocat de Julian Assange” alors que son rôle est celui de “conseiller juridique”. Ce pourrait même être un simple bénévolat pour gonfler sa célébrité.
On sent qu’il sait jouer des médias et de notre époque pour gonfler son EGO.
Un EGO qui semble absolument indiscutable.
L’EGO est un poison d’après les nouveaux sages, maîtres spirituels et Jim Carrey ;-) J’en sais quelque chose.

Il était avec sa veste de militaire noire aux épaulettes rouges, celle qu’il met sur les plateaux.
On sent, rien que dans ce détail, l’ego surdimensionnée de ce garçon, jusque dans la couture...

Il semblait pensif avec sa vue de privilégié, je m’imaginais son discours intérieur romantique :
“Comment puis-je changer le monde et faire la révolution de là où je suis,
si bien calé, si comfortable ? ah oui et si je pouvais aussi par la même occasion marqué l’histoire de mon nom en lettre capitales et devenir immortel… YOLO.”

Le lendemain, début de semaine dernière, je vois qu'il est accusé de viol dans les médias par une jeune fille de 20 ans, il publie sa version des faits sur les réseaux et les médias donnent la version de la fille.
Bien entendu celle de Branco omet quelques détails.

Je ne détiens pas la vérité sur cette affaire et je laisserait faire la justice.
- Complot ? Il dérange et on veut le voir tomber à coup de coup monté… ça sent le film hollywoodiens je ne pense pas qu’il “dérange” à ce point là, même si son Ego adorerait cette version.
- Chute par l’Ego d’un homme ? Il invite une jeune fille rencontrée sur Instagram à siroter des verres en face de chez lui sur l’île Saint-Louis avec vue directe sur la seine, Notre Dame et le coucher de soleil pour passer une soirée en bonne compagnie ? Probable, comme le ferait beaucoup de garçons… ça se passe de façon un peu abrupte et il oublie les manières d’un gentleman ? Peut-être.

Sauf qu’il ne veut pas être n’importe qui, et que jouer avec une jeune fille, de l’alcool et peut-être d’autres substances, ça peut être risqué en 2021…

Au final, je réalise que c'est n’était pas la révolution qu'il devait avoir en tête à ce moment là le petit prince au RDC de l’Île Saint-Louis mais bien le poids de son ego et de la fame fragile qu’il s’est construite…

La fin de Depardieu, Konbini qui l'enterre.

Au cas où vous n’auriez pas vu cette vidéo, voici l’une des pires interview qu’il m’ait été donné de voir. 13 minute de vide... Bon bien sûr c’est Gégé qui enterre le journaliste enfant, mais pour moi ça marque la fin du Depardieu, car il montre aussi là tout son vide abyssal. Génie du cinéma certes mais creux puisqu’on lui a tout passé comme à un enfant gâté.

ça rassemble deux choses qui m’agacent fort : Gérard Depardieu à qui l’on pardonne tout, et Konbini, le vide journalistique de ma génération.

Le journaliste, est mou, sans âme, scolaire et respire le vide charismatique face à la fameuse “bête immense” qu’est Depardieu. Konbini, parce que c’est Konbini chope des grosses pointures à interviewer, et ça se veut cool, trendy, un peu limite, etc.
Bref ça ne l’est jamais. Sauf avec Pio Marmaï dans une fromagerie italienne.

J’en ai ras le bol de Gérard aussi.
Oui le mec est un dieu du cinéma mais c’est aussi le mec qui serre la pince de tous les dictateurs du monde, qui va un coup à gauche, un coup à droite, sans avoir aucune morale ou valeur. Et on lui pardonne tout à ce bon vieux gégé, parce que c’est gégé hein ! Comme avec Chirac, il était cool Chirac alors on ferme les yeux.
Les français sont des veaux.

Il te justifie ses amitiés douteuses avec des phrases dans le style
- “je suis Depardieu, moi j’aime l’homme.” (c’est moi qui écrit ça, je le cite pas mais tu vois l’esprit)

- “je suis un citoyen du monde” (ça je crois qu’il l’a dit mais je vais même pas vérifier, tu comprends l’idée, le but c’est pas de le citer au mot.

Ce genre de phrase bidon qu’il peut sortir pour justifier ses amitiés avec un type comme Kadyrov en Tchétchénie.

Bref Depardieu, légende du cinéma, devenu par la force des choses un vieux con, qui finit par dire n’importe quoi en interview, qui faire genre il sait ce qu’il dit, qui commence par “non” à chaque fois que le journaliste pose une question.
C’est une méthode infaillible pour prendre le dessus.
Tu pèses déjà 200kg de plus dans le game de la vie que le chétif journaliste bobo qui t’interview avec son dernier iPhone dans les mains et ses Stan Smith aux pieds, alors tu en rajoutes pour montrer comment t’es supérieur en commençant chacune de tes réponses par “non c’est pas ça”.

Gérard Depardieu, bel abruti.

Konbini, rien.

La fable du loup, du journaliste et du berger.

Hier, comme nombre d’entre vous, je tombe sur la fameuse vidéo du berger Joseph Boussion qui décrit son quotidien difficile et reproche au reportage d’Hugo Clément sur le sujet des loups d’altérer la réalité.

Pour le contexte, la voici :

[Message de service] à Hugo Clément et ses faux reportages pute à clique. #Loups

Publiée par Carnet de berger sur Mercredi 8 juillet 2020

Hello, World!


Je ne connais rien au sujet du loup, moi aussi, comme Hugo, je suis une merde, respectable, mais une merde dans le sens bobo hipster parisien à qui il ne manque que les tatouages sur l’avant bras pour ressembler à ce journaliste que je ne porte pas en estime (insert ici un tatouage de dague, dans un cœur transpercé en feu, trois mats ou autre).
Qu’on soit bien clairs.
Je ne détiens aucune vérité, celle-ci est probablement, comme souvent, située entre deux extrêmes, à savoir au milieu des deux témoignages qui nous rassemblent ici : celui de @carnetdeberger et de @hugoclementk

À quand un débat et une rencontre dans le respect ?

Probablement jamais.

Le problème c'est bien la distance qui sépare ces deux mondes, donc une incompréhension immense entre l’univers glamour du journaleux parisien, tatouages stylés à l’avant bras, et qui navigue en scooter entre les mondanités de son milieu de célébrités des réseaux, milieu dans lequel il raconte avec charismes et encre au bras ses aventures sur le “terrain” et celui opposé du berger qui en chie en montagne, certes dans un environnement magnifique mais difficile, composé entre autres du froid, des pluies, orages, attaques de loups et faible quota de grasses mat’, et qui trime, littéralement, pas comme Hugo à la salle de boxe, pour protéger son troupeau d’attaques et de dangers fréquents.
Pourtant c’est drôle, je pense qu’il existe une chose puissante qui les lie : l’amour réel de la Nature.

Moi aussi je deviendrais très en colère si mes journées étaient aussi rudes que celles de ce berger et que je me vois raconter la vie, peut-être même donner une leçon, par un journaliste “parisien” (dans le sens péjoratif du terme) enfoncé dans sa chemise bleue Kitsuné à 200 euros
Pas loin de la moitié de mon loyer.
Tu la vois la colère là ?

L’imagination sert, je l’ai appris récemment à la lecture du discours de J.K. Rowling à Harvard à se mettre à la place de certaines personnes, à se rapprocher de leurs souffrances et de leurs expériences. En somme, à développer son empathie pour faire bouger les lignes, changer, agir en se battant pour ces autres qui n’ont pas notre chance, quelle qu’elle soit.
Crois moi mon imagination me sert beaucoup plus à me rapprocher du témoignage du berger réaliste, terre à terre, que de celui du pseudo “journaliste” influenceur qui roule en scoot’ à Paname pour rejoindre ses petites soirées mondaines.

Mais je ne pense pas que ce dernier, aussi déconnecté soit-il de la réalité du terrain qu’il fréquente, pense mal. Ce serait trop simple.
Il a juste ses idées, bien arrêtées, et oublies les humains de l’autre côté de sa pensée, ceux qui triment, ont aussi une famille, et ne sont pas non plus des ennemis de la nature, voir des ennemis tout court…
Hugo Clément, et c’est un mal de notre temps, est juste porté par ses followers et sa notoriété, demi-dieu des réseaux, il pense que sa vision est la bonne et oublie le réel, son nombril n’est pas celui du monde, et c’est bien naturel de l’oublier quand on frôle le million de gens qui nous “suivent”.
Tout comme John Mulaney explique que Mick Jagger oublie parfois de faire preuve d’humilité, je m’égare dans l’humour.
Il est dangereux le terme “followers” hein, y’a peu de sens critique chez celui qui “suit”.

Quand je vois la vidéo du berger, je suis assez heureux de voir que d’autres partagent mes idées sur ce type de journalisme que je ne porte pas dans mon cœur.
Hugo Clément, c’est de la vulgarisation et de l’info-divertissement, donc à peu près tout ce que je considère comme le poison de notre époque. Un seul angle de vue, au service d’une pensée unique, aucun recul, aucune remise en question, du clic, des formats courts, 5 minutes par sujet sur les posts Instagram et Facebook, brefs l’idéal pour ne pas faire un boulot profond de journalisme.
Hugo Clément n’est pas un journaliste, c’est un influenceur semi célébrité qui va visiter le terrain pour donner son point de vue de bobo hipster parisien. Et c’est très bien un point de vue, mais ce n’est pas du journalisme ça…

Alors comme j’aime bien me faire l’avocat du diable, bien sûr il éveille les consciences de jeunes ados sur l’écologie et d’autres sujets qui lui tiennent à cœur. Et ça c’est pas rien. En revanche, il ne développe absolument pas leur SENS CRITIQUE.
Et cette idée là, celle du sens critique, c’est proche du concept de la religion pour moi. C’est ce qui permet aux gens de se poser les bonnes questions, de comprendre que ça c’est une Fake News, d’aller chercher l’info, et le contre argument. Bref d’être doué d’un cerveau plutôt que de suivre le mouvement.
On me suit les “followers” ?


Questionne tout, lit un journal de droite, puis de gauche, et comprend que le monde est au milieu, souvent. Comme ce berger qui tue parfois des loups pour garder en vie son troupeau, amoureux de la nature et assis à côté de ses gros chiens, descendants directs du prédateur.

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Je me dois d’exprimer ici en toute transparence ma position sur le sujet du journaliste, j’ai une certaine antipathie pour ce garçon, hipster parisien tatoué aux avant bras auto proclamé sauveur et guide de la pensée en France. Pour moi Hugo Clément, tout comme Yann Barthès fait parti du problème, des gars complètement déconnectés du réel bien installés dans leurs Stan Smith et leurs brunchs en terrasses parisiennes et soirées dans des lieux branchés.
Des gens comme ça, qui tirent leurs pensées d’un seul extrême en voulant faire le bien, j’en suis sûr, sont responsables des gouffres qui existent politiquement entre Paris et les régions, entre Londres et les villes d’Angleterre, entre New-York et l’Amérique. Tu me suis ?
Quand on se fout à se point là des autres gens, de ceux dont la réalité est toute autre que celle de ton scooter, de ton vélo à assistance électrique ou de tes baskets Veja qui te déposent à tes soirées parisiennes, alors on crée un gouffre, et ce gouffre a un nom : Brexit, Trump, Le Pen, etc.


MISE à JOUR : Hugo Clément a contacté le berger pour venir lui rendre visite.
La dernière vidéo du berger résume encore l’écart entre ces deux réalités…
Le journaliste lui propose une semaine… dans un an.
”Bah oui, là c’est juillet et en août avec Alexandra on a prévu de partir un mois au Cap … donc bon tu vois dans un an, peut être...”
Et puis vu la vitesse à laquelle va le monde on est sûrs que dans un an y’aura pas eu d’autres sujets plus “chauds” pour ton audience le journaliste.
Et d’ici là, toi le berger, compte bien tes brebis !

#HugoClément m'a contacté oui sauf que... #Loups #video #coupDeGueule

Publiée par Carnet de berger sur Samedi 11 juillet 2020

Hello, World!

Ici j’engage, veux-tu m’épouser ?

Hugo Clément / Joseph Boussion / Loup / Loups / Sur le front /



La Parisienne, essai.

Pas sûr qu'elle passe Gare du Nord, en haut d'la rue Maubeuge, La Parisienne, l'influenceuse qui poste sur Instagram sa tenue du jour, assise à la terrasse d'un café, mode croissant, un allongé et p'tit livre activé.
Mais si ! Tu sais, couverture blanche éditions Gallimard, ça passe crème.

Elle vient pas ici elle qui circule en Uber de rendez-vous en shooting pour vendre le faux qu'elle crée les doigts sur son smartphone. Y'a des endroits de Paris curieusement qu'on les voient pas influencer le dimanche soir entre deux rayons de soleil qui se couche sur papier peint pastel. Tant mieux remarque, ça laisse encore un peu de vrai à la capitale.


Paris est une carte postale. Quelques endroits, souvent les plus beaux sont les pires.
J'ai réalisé ça avec elle, La Parisienne, entre autres, et aussi quand j'ai vu un ptit train circuler à Montmartre... put**n y'a qu'à Disneyland qu'on vois un truc pareil. Du faux, carton-pâte. Manque plus que des acteurs déguisés en parisiens... ah si, c'est elle, La Parisienne.


Celle qui fait que tout le monde se juge, se regarde se regarder à la terrasse des cafés, parler fort surtout du vide. Scène de l'enfer, jugement capital.

Moi aussi je juge, t'as une paire de StanSmith aux pieds et un sac de courses bio : t'es un en*culé.
À maubeuge on a la plus "belle vraie vue" de Paris, le sacré cœur en haut et en bas les camés et distributeurs de kit à crack.
Alors elle est où La Parisienne ?


Paris est dégueulasse, ça pue, y'a du boucan, Pandémonium, Paris est naturelle et vilaine, mais toi la Parisienne t'es pire, faussaire à vendre du vent, on le connaît ton prix, celui qui te fait vivre là-haut, dernier étage bâtiment Haussmann. La peste, elle a commencé à Paris, sur les tables des cafés où tu t'es mise en scène. Tout un marché qui vaut pleins de sous et qui a aspiré l'âme de la ville sur les réseaux.

Comment on reconstruit ce qui est détruit, par toi et les trottinettes, bah on fout tout à l'eau, on s'en balance.
Et viens pas t'engager pour la planète alors que toute ta vie repose sur le textile, please.
Allez La Parisienne, je te déteste parce que c'est moi aussi Lui, La Parisienne.

Ici j'engage, veux tu m'épouser #parisisforhaters

Ne pas lire pour dormir.

Ne va pas lire pour t’endormir.
Ce conseil médiocre est efficace mais complètement con.

Lire c’est réveiller les démons, l’inconnu, le mythe et ce qui n’est pas là.
Pourquoi l’associer au sommeil, au moment où l’on ferme les yeux ?
Imagine qu’on te dise qu’il faille fermer les yeux pour découvrir le monde…

Pose les yeux sur ces lignes et laisse ta tête allumée. Bat toi contre le sommeil, les paupières lourdes et autres attaques de la nuit. Il te faut lire, et ce même dans l’obscurité.